Azimut

Azimut

Paroles : Martin Tamar
Musique : Martin Tamar
Durée :

C’est pas réaliste de trouver que tous ces tristes pas n’avancent pas
Que ton monde hivernal se réchauffe et fait fondre ton âme
Reculer dans le vide quand tes jambes sont trop timides
Tu préfères avancer par terre
Une fourmi malhabile

C’est pas la fin du monde
La perte de quelques secondes ça revient soixante fois par minute
Et tu ne mens pas tu vis et tu préfères en sourire

Non tu préfères tout vivre même comme un chien t’ouvrir
À tes blessures tes brûlures ton manque de peau
Et tu préfères tout haut dire que le monde est de trop
Et que tu t’envoies quand même en l’air

Tu t’envoies en l’air

Ton sang s’égoutte de tous tes troubles
Ton corps s’évade un cerf-volant en balade
Ta langue te parle mais tu ne l’écoutes pas
Elle te dit d’embrasser chacune des choses que tu vois

T’as la peau qui s’assèche et tes lèvres se sont retournées
Sans ton paradis tes ennuis

Et tu t’envoies en l’air

T’as la peau qui s’assèche et tes lèvres se sont retournées