Le cow-boy
Je suis un grand cow-boy
J'ai les cordes et les nœuds
Il me manque tous ces jours à deux
Toutes ces nuits pour vivre heureux, peureux
J'ai le fusil, les balles
Il me manque un visage que je figure en cavale
Quand les gouttes de pluie tombent en cœur sur mon mal
Quand les ombres sont froides et sans quiconque m'égal
Partout où le soleil se lève je me cherche
Partout où les gens sont pareils je m'amène
Partout, ailleurs, des collines jusqu'au vide
Tout te semble meilleur
Des vies qui se dessinent des peaux qui s'avoisinent
Et ton cœur qui se leurre de ces espoirs ces lueurs
Tout leur est si facile pourquoi donc t'interdire
Trop rêveur si subtil à quoi bon te redire
T'as qu’à pas laisser passer toutes ces années
T'as qu’à pas laisser passer toutes ces années
Quand t'as pas tes chandelles tu délires tu sommeilles
Tu te guides par le braille que tu ne lis pas tu veilles
Partout où le soleil se lève je me cherche
Partout où les gens sont pareils je m'amène
T'as qu’à pas laisser passer toutes ces années
T'as qu’à pas laisser passer toutes ces années
T'as qu’à pas laisser passer toutes ces années
Quand t'as pas tes chandelles tu délires tu sommeilles
T'as qu’à pas laisser passer toutes ces années
Tu te guides par le braille que tu ne lis pas tu veilles
T'as qu’à pas laisser passer toutes ces années
T'as qu’à pas laisser passer toutes ces années
Quand t'as pas tes chandelles tu délires tu sommeilles
Tu te guides par le braille que tu ne lis pas tu veilles